Nous avions navigué quatre semaines en mer Baltique et cherché à épuiser le labyrinthe de l'archipel danois, et puis le train du retour, via Kiel et Hambourg, avait dérivé.
Le fil des contacts noués dans les boutiques et les cafés du Mitte m'avait débarqué dans un immense appartement de Prenzlauer Berg au milieu de cinq colocataires déjantés. C'est là que j'avais rencontré Magda et ses ailes du désir.
Un ange déchu...
RépondreSupprimerBises de papillon
Merci Véro pour tes commentaires... tu es mon modèle, ma référence, j'espère que ce blog sera à ta hauteur ;o)
RépondreSupprimerje vais à berlin cet été ... envie d'ailes du desir aussi
RépondreSupprimerbienvenue dans la confrerie des blogueurs
merci Waid,
RépondreSupprimerpour Berlin, n'hésite pas à passer du temps là-bas, il y a de quoi faire
Les photos que je vois ici sont le reflet de sa beauté sûrement...entre ciel et terre.
RépondreSupprimer@Volcane,
RépondreSupprimeroui, une beauté une rien plus proche du firmament que du terre à terre ;o)
Me rappelle que ça fait trop longtemps que je n'ai plus écrit sur Berlin. Et plus été là non plus...
RépondreSupprimerJolies impressions
@ Caliste
RépondreSupprimerMerci Caliste. Il est temps de repartir en voyage alors ! :o)
Freelance, donc.
RépondreSupprimerSi loin, si proche chacun derrière son mur; chacun sa condition humainement mortelle, une fois passé ce mur.
@ Anna Hyss
RépondreSupprimeroui Miss Sherlock !
mais parfois les murs tombent, ou on les abat...
Euh, non... je dirais plus Scarpetta.
RépondreSupprimer:)
Oui... des murs qui s'effondrent et des ailes brulées, peut-être.
Très bien Kay... Connais-tu Tara ? C'est ma meilleure amie, elle vit en Californie et a, comme toi, fait ses études de droit à Georgetown. :)
RépondreSupprimervu le résultat, oui certainement...
Vous avez de sacrées amies, vous!
RépondreSupprimer:)
hm!...
je pourrais vous les présenter... mais puisque nous nous sommes reconnus, apprenons d'abord à nous connaître
RépondreSupprimer